Une dague plantée dans la porte
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Une dague plantée dans la porte
Après l'autorisation des histoires par notre chère Swen, j'ai décidé de mettre la mienne avec celles qui vont se trouver ici. Je parle trop pour ne rien dire.
"Mon histoire commence à l'anniversaire de mes 13 ans. Un nombre porte-malheur. Ah mais vous vous demandez peut-être ce que j'ai vécu avant mes 13 ans. En fait pas grand chose. Juste des émotions. Peur. Colère. Tristesse. Joie. Tout cela forme un mot. Mort. Revenons en à cet anniversaire funeste, dit pourpre. J'étais seule avec mes parents. Ils m'offraient mon cadeau.
- "Avec cet arc tu pourras enfin devenir une disciple de Melandru, dirent mes parents, eux-même des fervents disciples de Melandru. Tu es grande maintenant. Tu as 13 ans."
Le liquide pourpre jaillit de leur gorge.
- "Je ne suis pas disciple de Melandru, dis-je. Je suis disciple de Grenth!"
Là dessus je partis, sans un regard en arrière pour le demeur familiale, juste une impression de haine, de contentement et de tristesse à la fois... La vie n'est qu'amertume. Les sentiments ne servent à rien. Pleurer. Rire. S'énerver. Tout ceci est futile et puérile, la haine va avec. Il faut juste penser. Ne pas pleurer quand un proche meurt. Mettre tout à l'écart. Devenir insensible. Subir la souffrance sans ployer. Refouler ses désirs. Ne pas s'écrouler. Ne pas avoir de remords. Faire ce qu'il faut faire. Je n'y avais jamais pensé auparavant. Maintenant la mort est quotidienne, je dois avoir un lien avec elle... Aussi j'ai de la chance. Enfin après réfléxion, la chance n'existe pas. Juste le talent. Ce talent impitoyable qui flambe en moi. Il faut que j'enferme tout ça à double tour dans mon coeur. Mais je n'y arrive pas. Voilà pourquoi une fois sortie, je m'écroulais sur le seuil. Et pleurais. Et pleurais. Pendant une heure, deux heures, peut-être même la soirée entière. À quoi sert le temps? On dit que nous sommes prisonnier du temps. Pourtant c'est nous qui l'avons crée. Comme c'est stupide de se croire prisonnier de sa création. J'ai envie d'en rire. Nous sommes prisonniers du destin. Pas du temps. Mais moi maintenant, je veux juste pouvoir oublier mes émotions. Pouvoir oublier les souvenirs douloureux. Avoir un trou béant en soi me dérangerait moins que d'avoir des souvenirs. Mes souvenirs me disent que la seule chose qui existe vraiment, ce sont les défauts...
Je suis la lame qui vit par la mort, coupe le fil de la vie en deux par la longueur... Je suis les événements, ne tente pas de les refouler, accepte ma condition misérable, accepte que le monde soit forgé par le sang, la haine et l'égoïsme... Je vous ennuie, je le sais, mais c'est nécessaire pour comprendre mon histoire. Je vis selon les principes fondamentaux de l'être humain ; c'est détruire et chercher le plaisir pour pouvoir mieux haïr. Mais revenons à nos moutons comme disent les gens insouciants.
Prologue : La Mort.
"Mon histoire commence à l'anniversaire de mes 13 ans. Un nombre porte-malheur. Ah mais vous vous demandez peut-être ce que j'ai vécu avant mes 13 ans. En fait pas grand chose. Juste des émotions. Peur. Colère. Tristesse. Joie. Tout cela forme un mot. Mort. Revenons en à cet anniversaire funeste, dit pourpre. J'étais seule avec mes parents. Ils m'offraient mon cadeau.
- "Avec cet arc tu pourras enfin devenir une disciple de Melandru, dirent mes parents, eux-même des fervents disciples de Melandru. Tu es grande maintenant. Tu as 13 ans."
Le liquide pourpre jaillit de leur gorge.
- "Je ne suis pas disciple de Melandru, dis-je. Je suis disciple de Grenth!"
Là dessus je partis, sans un regard en arrière pour le demeur familiale, juste une impression de haine, de contentement et de tristesse à la fois... La vie n'est qu'amertume. Les sentiments ne servent à rien. Pleurer. Rire. S'énerver. Tout ceci est futile et puérile, la haine va avec. Il faut juste penser. Ne pas pleurer quand un proche meurt. Mettre tout à l'écart. Devenir insensible. Subir la souffrance sans ployer. Refouler ses désirs. Ne pas s'écrouler. Ne pas avoir de remords. Faire ce qu'il faut faire. Je n'y avais jamais pensé auparavant. Maintenant la mort est quotidienne, je dois avoir un lien avec elle... Aussi j'ai de la chance. Enfin après réfléxion, la chance n'existe pas. Juste le talent. Ce talent impitoyable qui flambe en moi. Il faut que j'enferme tout ça à double tour dans mon coeur. Mais je n'y arrive pas. Voilà pourquoi une fois sortie, je m'écroulais sur le seuil. Et pleurais. Et pleurais. Pendant une heure, deux heures, peut-être même la soirée entière. À quoi sert le temps? On dit que nous sommes prisonnier du temps. Pourtant c'est nous qui l'avons crée. Comme c'est stupide de se croire prisonnier de sa création. J'ai envie d'en rire. Nous sommes prisonniers du destin. Pas du temps. Mais moi maintenant, je veux juste pouvoir oublier mes émotions. Pouvoir oublier les souvenirs douloureux. Avoir un trou béant en soi me dérangerait moins que d'avoir des souvenirs. Mes souvenirs me disent que la seule chose qui existe vraiment, ce sont les défauts...
Je suis la lame qui vit par la mort, coupe le fil de la vie en deux par la longueur... Je suis les événements, ne tente pas de les refouler, accepte ma condition misérable, accepte que le monde soit forgé par le sang, la haine et l'égoïsme... Je vous ennuie, je le sais, mais c'est nécessaire pour comprendre mon histoire. Je vis selon les principes fondamentaux de l'être humain ; c'est détruire et chercher le plaisir pour pouvoir mieux haïr. Mais revenons à nos moutons comme disent les gens insouciants.
Dernière édition par Ariane-Jo le Mer 22 Avr - 19:59, édité 6 fois
Ariane- Swen's pupuce
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Age : 33
Localisation : Paris
Re: Une dague plantée dans la porte
Alors petite précision : Je vais maintenant tout écrire d'abord sur World et pas faire direct comme maintenant. Ensuite je vais trier le tout par chapitre, et j'ai rajouté un peu d'écriture au Prologue. Ensuite quand j'aurais fini cette histoire, je m'occupperais de mes autres personnages, qui, pour certains seront juste là pour le RP. Ensuite quand je parle en chan guilde, c'est moi qui parle, je ne suis pas dans mon personnage. Cela pourrait paraître bizarre mais si vous voulez parler À mon personnage DIRECTEMENT, demandez-moi, mais je ne serais que full RP. Vous verrez, ça peut faire une différence quand je joue RP. En fait c'est possible que ce soit aussi mon frère parfois, mais il devrait prévenir. Voilà, j'espère que vous me comprenez dans ma folie RP.
Ariane- Swen's pupuce
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Localisation : Paris
Je fais quoi pour la suite?
Donc, vu que j'écris pour vous fournir de la lecture et me faire plaisir, je vais mettre un sondage, pour choisir quelle suite vous préférez. S'il vous plaît, veuillez voter, c'est important pour moi aussi!
Ariane- Swen's pupuce
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Date d'inscription : 13/04/2008
Age : 33
Localisation : Paris
Re: Une dague plantée dans la porte
Bon bah le sondage est fini, dites-moi si vous voulez avoir encore un peu de temps. Je suis agréablement surprise, moi qui croyait que je ferais pas d'aspect psychologique et plus de l'action pour captiver, ben non c'est l'inverse. Bon je me mets au boulot tout de suite.
Donc une grosse dose d'intrigue, de la psychologie et de l'action pour aller avec l'intrigue. O.K. ça marche!
Donc une grosse dose d'intrigue, de la psychologie et de l'action pour aller avec l'intrigue. O.K. ça marche!
Ariane- Swen's pupuce
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